John Fenn, Reconciling the God of the OT with the NT 2 of 4, Right is right. Weekly Thoughts. 11/11/23
Réconcilier le Dieu de l’Ancien avec le Dieu du Nouveau Testament
2ème partie de 4
Juste est juste
11 novembre 2023
Bonjour à tous,
La semaine dernière, nous avons parlé du fait que la connaissance de Dieu est progressive dans le cadre de qui Il est. Ce cadre ne change jamais, mais la façon dont Il traite les gens dans le cadre de qui il est change. Nous devons considérer qu'un Dieu infini et un temps infini signifient une infinité de révélations de qui Il est.
Dans l'Ancien Testament, ils avaient une certaine quantité de révélations, mais dans le Nouveau Testament, nous avons une révélation plus claire de qui Il est. Mais ce n'est pas tout : Ephésiens 2:7 nous dit que le Père "dans les siècles à venir, continuera à manifester l'extrême richesse de sa grâce envers nous, en Christ Jésus". Une plus grande révélation de Sa bonté envers nous dans les âges à venir. Âges. Pluriel. Formidable.
Il est amour, lumière, joie, paix, longanimité, justice et droiture et toutes les bonnes choses. Mais dans ces caractéristiques du Dieu Père, il y a la capacité d'appliquer qui Il est d'une manière relatable à chaque étape de l'histoire d'Israël.
Ceci vous fera jeter du haut d'une falaise
Lorsque Jésus se trouvait dans sa ville natale, au ‘rassemblement’ (en hébreu : synagogue), à l'époque probablement chez quelqu'un, on lui a remis le livre d'Ésaïe. Il lit les versets 61:1-2.
Dans une prophétie Le concernant, Il lit : "Le Seigneur m'a consacré pour annoncer une bonne nouvelle à ceux qui sont enseignables, pour guérir ceux qui ont le cœur brisé....et pour proclamer une année de grâce pour le Seigneur". Il s'est ensuite assis et tout le monde l'a regardé fixement. Il leur a dit que ce passage était maintenant accompli.
Si vous lisez ce passage, vous découvrirez que Jésus s'est arrêté au milieu de la phrase d'Esaïe 61: 2. Le verset 2 se lit comme suit : "... pour annoncer l'année de grâce du Seigneur, et le jour de la vengeance de notre Dieu." Jésus s'est assis après avoir dit "pour annoncer l'année de grâce du Seigneur", déclarant que cette partie était accomplie.
Ils n'ont pas apprécié et ont tenté de le jeter du haut de la falaise voisine. Il ne pouvait pas leur dire qu'entre "l'année favorable du Seigneur" et le "jour de la vengeance de notre Dieu", les païens auraient la possibilité de connaître le Dieu d'Israël dans un délai d'environ 2 000 ans. Mais Il leur a dit ce qui avait été révélé à ce moment-là, jusqu'à ce moment dans le temps : "... prêcher l'année de grâce du Seigneur". C'est l'époque dans laquelle nous vivons.
Nous voyons une fois de plus la progression de la révélation.
La première venue de Jésus concernait l'année de grâce du Seigneur, et c'est donc la partie de Sa personnalité que nous voyons. Il y a une autre partie de Sa personnalité, "le jour de la vengeance de notre Dieu", que nous, Ses disciples et enfants du Dieu Père, ne connaîtrons jamais personnellement.
Imaginez qu'un enfant ne voit que le bon côté de son père ou de sa mère. Mais si quelqu'un essayait de lui faire du mal, cet enfant verrait une toute autre partie de ses parents dont il ne soupçonnait pas l'existence - le côté qui tuerait en légitime défense quiconque essaierait de faire du mal à son enfant. Il en va de même pour nous, enfants du Père, qui sommes les bénéficiaires de son amour et non de sa colère.
Mais le Jésus qui reviendra à la bataille d'Armageddon pour détruire les ennemis d'Israël et de Dieu, et qui établira ensuite un royaume terrestre mondial, est le même que celui que l'on voit dans les évangiles. Mais la révélation dans notre époque est le jour de la grâce.
À l'ère de la confusion des genres
La culture populaire voudrait nous faire croire qu'un homme doit être pacifique, doux, ne jamais vouloir se battre, simplement s'entendre avec tout le monde. Mais c'est en partie faux. Ce qui fait d'un homme un homme, c'est en partie sa capacité à tuer, pour se défendre, toute personne qui menacerait sa vie ou celle de ses proches.
C'est la bonté et la possibilité de faire beaucoup de mal à un ennemi qui contribuent à la droiture. La droiture, c'est la "justesse". Pour qu'un mari et un père soit complet, pour qu'il soit "juste", les deux éléments doivent être réunis. Il doit aimer sa famille de tout son cœur et donc porter en lui la menace de la violence contre quiconque menace sa famille. C'est cela être juste. Lorsqu'un mari et une femme font des vœux l'un envers l'autre, une partie de ces vœux consiste à s'aimer et à s'honorer, mais un autre élément est qu'ils lutteront tous les deux contre toutes les forces qui chercheraient à détruire leur union.
En d'autres termes, la grâce doit, de par sa nature, avoir un revers de médaille, à savoir la responsabilité. Noé a reçu l'ordre de construire un bateau, c'est la grâce. S'il avait désobéi, il serait mort avec le reste de la population. C'est la partie responsabilité de la grâce. La grâce vient du cœur de celui qui la donne et elle est illimitée. Mais une fois la grâce donnée, il incombe à celui qui la reçoit de répondre de manière appropriée. La grâce est toujours assortie de conditions.
Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique. C'est la grâce. Quiconque croit en lui aura la vie éternelle. C'est la condition de la grâce. La grâce est donnée, mais la condition est que vous devez croire en Jésus si vous voulez recevoir les bénéfices de cette grâce. La vie éternelle ne se trouve que dans la foi en Son Fils. En dehors de cela, vous ne pouvez pas recevoir la grâce du Père.
Si une personne ne peut pas défendre ses convictions et ceux qu'elle aime, ce n'est pas de la force et de la droiture, c'est de la faiblesse. La maîtrise de soi sans une fondation morale est faiblesse (savoir ce qui est bien et ce qui est mal et être assez fort moralement pour défendre le bien).
C'est l'une des raisons pour lesquelles les gens ont du mal à accepter l'idée d'un Dieu qui soit aussi un guerrier. Ils pensent que la force et la moralité signifient qu'il ne faut pas se battre. "Parlons-en et ne nous battons pas". Mais si Dieu est ce qu'Il dit être, mais qu'Il n'ait pas la force morale de défendre ce qu'Il dit être, Il n'est pas Dieu.
La semaine prochaine, des exemples spécifiques dans l'AT. D'ici là, bénédictions,
John Fenn
www.cwowi.org et écrivez-moi à [email protected]
Réconcilier le Dieu de l’Ancien avec le Dieu du Nouveau Testament
2ème partie de 4
Juste est juste
11 novembre 2023
Bonjour à tous,
La semaine dernière, nous avons parlé du fait que la connaissance de Dieu est progressive dans le cadre de qui Il est. Ce cadre ne change jamais, mais la façon dont Il traite les gens dans le cadre de qui il est change. Nous devons considérer qu'un Dieu infini et un temps infini signifient une infinité de révélations de qui Il est.
Dans l'Ancien Testament, ils avaient une certaine quantité de révélations, mais dans le Nouveau Testament, nous avons une révélation plus claire de qui Il est. Mais ce n'est pas tout : Ephésiens 2:7 nous dit que le Père "dans les siècles à venir, continuera à manifester l'extrême richesse de sa grâce envers nous, en Christ Jésus". Une plus grande révélation de Sa bonté envers nous dans les âges à venir. Âges. Pluriel. Formidable.
Il est amour, lumière, joie, paix, longanimité, justice et droiture et toutes les bonnes choses. Mais dans ces caractéristiques du Dieu Père, il y a la capacité d'appliquer qui Il est d'une manière relatable à chaque étape de l'histoire d'Israël.
Ceci vous fera jeter du haut d'une falaise
Lorsque Jésus se trouvait dans sa ville natale, au ‘rassemblement’ (en hébreu : synagogue), à l'époque probablement chez quelqu'un, on lui a remis le livre d'Ésaïe. Il lit les versets 61:1-2.
Dans une prophétie Le concernant, Il lit : "Le Seigneur m'a consacré pour annoncer une bonne nouvelle à ceux qui sont enseignables, pour guérir ceux qui ont le cœur brisé....et pour proclamer une année de grâce pour le Seigneur". Il s'est ensuite assis et tout le monde l'a regardé fixement. Il leur a dit que ce passage était maintenant accompli.
Si vous lisez ce passage, vous découvrirez que Jésus s'est arrêté au milieu de la phrase d'Esaïe 61: 2. Le verset 2 se lit comme suit : "... pour annoncer l'année de grâce du Seigneur, et le jour de la vengeance de notre Dieu." Jésus s'est assis après avoir dit "pour annoncer l'année de grâce du Seigneur", déclarant que cette partie était accomplie.
Ils n'ont pas apprécié et ont tenté de le jeter du haut de la falaise voisine. Il ne pouvait pas leur dire qu'entre "l'année favorable du Seigneur" et le "jour de la vengeance de notre Dieu", les païens auraient la possibilité de connaître le Dieu d'Israël dans un délai d'environ 2 000 ans. Mais Il leur a dit ce qui avait été révélé à ce moment-là, jusqu'à ce moment dans le temps : "... prêcher l'année de grâce du Seigneur". C'est l'époque dans laquelle nous vivons.
Nous voyons une fois de plus la progression de la révélation.
La première venue de Jésus concernait l'année de grâce du Seigneur, et c'est donc la partie de Sa personnalité que nous voyons. Il y a une autre partie de Sa personnalité, "le jour de la vengeance de notre Dieu", que nous, Ses disciples et enfants du Dieu Père, ne connaîtrons jamais personnellement.
Imaginez qu'un enfant ne voit que le bon côté de son père ou de sa mère. Mais si quelqu'un essayait de lui faire du mal, cet enfant verrait une toute autre partie de ses parents dont il ne soupçonnait pas l'existence - le côté qui tuerait en légitime défense quiconque essaierait de faire du mal à son enfant. Il en va de même pour nous, enfants du Père, qui sommes les bénéficiaires de son amour et non de sa colère.
Mais le Jésus qui reviendra à la bataille d'Armageddon pour détruire les ennemis d'Israël et de Dieu, et qui établira ensuite un royaume terrestre mondial, est le même que celui que l'on voit dans les évangiles. Mais la révélation dans notre époque est le jour de la grâce.
À l'ère de la confusion des genres
La culture populaire voudrait nous faire croire qu'un homme doit être pacifique, doux, ne jamais vouloir se battre, simplement s'entendre avec tout le monde. Mais c'est en partie faux. Ce qui fait d'un homme un homme, c'est en partie sa capacité à tuer, pour se défendre, toute personne qui menacerait sa vie ou celle de ses proches.
C'est la bonté et la possibilité de faire beaucoup de mal à un ennemi qui contribuent à la droiture. La droiture, c'est la "justesse". Pour qu'un mari et un père soit complet, pour qu'il soit "juste", les deux éléments doivent être réunis. Il doit aimer sa famille de tout son cœur et donc porter en lui la menace de la violence contre quiconque menace sa famille. C'est cela être juste. Lorsqu'un mari et une femme font des vœux l'un envers l'autre, une partie de ces vœux consiste à s'aimer et à s'honorer, mais un autre élément est qu'ils lutteront tous les deux contre toutes les forces qui chercheraient à détruire leur union.
En d'autres termes, la grâce doit, de par sa nature, avoir un revers de médaille, à savoir la responsabilité. Noé a reçu l'ordre de construire un bateau, c'est la grâce. S'il avait désobéi, il serait mort avec le reste de la population. C'est la partie responsabilité de la grâce. La grâce vient du cœur de celui qui la donne et elle est illimitée. Mais une fois la grâce donnée, il incombe à celui qui la reçoit de répondre de manière appropriée. La grâce est toujours assortie de conditions.
Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique. C'est la grâce. Quiconque croit en lui aura la vie éternelle. C'est la condition de la grâce. La grâce est donnée, mais la condition est que vous devez croire en Jésus si vous voulez recevoir les bénéfices de cette grâce. La vie éternelle ne se trouve que dans la foi en Son Fils. En dehors de cela, vous ne pouvez pas recevoir la grâce du Père.
Si une personne ne peut pas défendre ses convictions et ceux qu'elle aime, ce n'est pas de la force et de la droiture, c'est de la faiblesse. La maîtrise de soi sans une fondation morale est faiblesse (savoir ce qui est bien et ce qui est mal et être assez fort moralement pour défendre le bien).
C'est l'une des raisons pour lesquelles les gens ont du mal à accepter l'idée d'un Dieu qui soit aussi un guerrier. Ils pensent que la force et la moralité signifient qu'il ne faut pas se battre. "Parlons-en et ne nous battons pas". Mais si Dieu est ce qu'Il dit être, mais qu'Il n'ait pas la force morale de défendre ce qu'Il dit être, Il n'est pas Dieu.
La semaine prochaine, des exemples spécifiques dans l'AT. D'ici là, bénédictions,
John Fenn
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