John Fenn, Questions I get asked; Covid vaccine; The shot felt 'round the world. Weekly Thoughts 7/10/21
Les questions que l'on me pose :
8ème partie
Vaccin Covid ; la piqûre ressentie dans le monde entier
Pensées Hebdomadaires, 10 juillet 2021
Bonjour à tous,
Ils disent que si vous le faites, c’est que vous vous êtes éloigné du Seigneur.
Ils disent que si vous le faites, vous vous ouvrez aux démons (et à leur contrôle).
Ils disent que si vous le faites, ils ne peuvent plus être en communion avec vous.
Ils disent que si vous le faites, vous êtes dans l'erreur sur le plan doctrinal.
Ils disent que si vous le faites, vous êtes insensé, irresponsable, voire dangereux.
Les personnes des deux côtés de la question sont convaincues d'avoir raison.
Beaucoup sont arrogants dans leur position, refusant d'entendre les informations de "l'autre côté".
Beaucoup pensent avoir des connaissances au-dessus de celles des autres.
Beaucoup critiquent ceux qui ne croient pas comme eux.
Et tous ces comportements se sont également passés au premier siècle.
A l'époque de Paul...
Si vous étiez Grec ou Romain et que vous veniez au Seigneur, vous aviez été un idolâtre. Votre vie avant Christ consistait à faire régulièrement des sacrifices à un dieu ou à une déesse afin d'être béni. S'il y avait une fête païenne, vous offriez un sacrifice. Si vous vouliez conclure un contrat commercial, vous offriez un sacrifice. Si on plantait une culture et qu'on la récoltait, on offrait un sacrifice. Si un bébé naissait, si quelqu'un se mariait, si quelqu'un mourait, on offrait un sacrifice pour chaque événement de la vie.
Dans les cultures grecque et romaine, les sacrifices pouvaient inclure des animaux, des céréales, des fruits ou du vin, tout comme dans le judaïsme. Mais contrairement au judaïsme, après avoir fait son offrande au dieu ou à la déesse, l'adorateur avait souvent des relations sexuelles avec une prostituée du temple (homme ou femme) - l'acte sexuel avait pour but d'inciter le dieu ou la déesse à se joindre au contrat ou à l'événement et à le bénir.
C'est hors de cette culture et de cette pratique que beaucoup sont venus au Seigneur. Il y avait une grande pression culturelle de la part du gouvernement fédéral (Romain), des gouvernements locaux (villes) et des entreprises locales, pour suivre le modèle décrit ci-dessus. Comment un Chrétien pouvait-il être un homme d'affaires intègre dans une telle culture ?
Lorsque vous deveniez chrétien à l'époque, vous sortiez de la culture locale et vous vous retrouviez à l'extérieur de la société, en marge, ce qui créait une grande confusion chez les non-croyants. Nous savons que les Romains ne comprenaient pas bien les chrétiens, car ils écrivaient que les chrétiens étaient athées parce qu'ils n'avaient pas d'idoles ou d’autels dans leurs maisons, comme le ferait un foyer romain "normal". Ils pensaient que les chrétiens étaient obsédés par le sexe car ils organisaient toujours ce qu'ils appelaient des "fêtes d'amour" (repas fraternelles). Et ils étaient cannibales parce qu'ils mangeaient et buvaient le corps et le sang de cet homme Jésus.
Pour eux, les chrétiens étaient bizarres, déloyaux envers le gouvernement parce qu'ils n'étaient pas en accord avec la culture nationale, dangereux, suspects de tout ce qui allait mal dans la société romaine.
C'est au-milieu de cette culture qu'est née la discussion sur la viande et la boisson offertes aux idoles.
Les chrétiens se trouvaient à l'extérieur de la culture païenne, alors le fait de manger de la viande ou de boire du vin qui avait été utilisé auparavant dans un temple païen n'ouvrait-il pas des souvenirs de leur passé, et peut-être des portes pour que des démons entrent dans leur vie ?
Dans le judaïsme, après qu'un animal, du grain ou du vin ait été offert au Seigneur, les prêtres ou les lévites en prenaient une partie pour leurs besoins. Et dans 4 des 6 types de dîmes, celui qui avait donné la dîme se voyait restituer le reste de la dîme afin qu'il puisse la donner aux personnes dans le besoin dont il avait connaissance.
Mais dans le monde païen, l'excédent de viande, de céréales, de vin et autres était vendu aux restaurants, aux marchés de viande et aux magasins qui entouraient le parvis du temple. Comme je l'ai mentionné il y a quelques semaines lorsque j'ai traité des chrétiens et de l'alcool, je suis allé à Corinthe et j'ai vu les ruines du temple et ces magasins. Il avait été très facile pour le personnel du temple d'amener la viande, le grain ou le vin jusqu'à la porte arrière des magasins pour qu'ils puissent les vendre.
L'économie du monde païen, basée sur le temple, était étroitement liée à tout le reste de la ville. La culture et les attentes voulaient que chaque citoyen et chaque esclave participent à ces activités. Il suffit de voir l'émeute provoquée par le fabricant d'idoles Démétrius à Éphèse en Actes 19: 24-28, lorsque les ventes d'idoles ont chuté parce que beaucoup de gens devenaient chrétiens !
Les chrétiens souffrent rarement de ‘troubles de l'opinion’.
C'est ainsi que les chrétiens de Corinthe et de Rome en particulier étaient divisés au sujet de la culture nationale et de la pression exercée sur eux pour qu'ils mangent de la viande et boivent du vin qui avaient auparavant été sacrifiés à une idole.
Aux Corinthiens, Paul a abordé la question d'abord au niveau spirituel, en disant qu'un dieu n'est rien car il n'y a qu'un seul Dieu à qui nous appartenons et que nous servons. Puis, sur le plan pratique, il leur dit, en 10: 25, de manger "tout ce qu'on vend dans les boutiques, sans demander d'où cela vient, par acquit de conscience". Et aussi que s'ils mangent seuls et veulent manger de la viande qui a été sacrifiée à une idole, et que cela ne les dérange pas, alors faites-le. Mais si un ami est avec vous et que vous savez que cela le dérange, alors ne mangez pas cette viande, mangez autre chose.
Mais dans Romains 14, il est devenu personnel, qualifiant de "faibles dans la foi" les croyants qui pensaient qu'un jour était plus saint que les autres, et ceux qui ne mangeaient pas de viande ou ne buvaient pas de vin du temple. "L'un croit pouvoir manger de tout, l'autre étant faible, ne mange que des légumes". La clé se trouve dans les versets 5 et 6 :
"Un homme considère tous les jours comme identiques, un autre considère un jour plus saint que les autres. Que chacun soit pleinement persuadé dans sa propre pensée. Celui qui considère un jour le fait pour le Seigneur. Celui qui ne considère pas un jour comme spécial le fait pour le Seigneur. Celui qui mange de tout, rend grâces au Seigneur, et celui qui ne mange pas de tout, rend grâces au Seigneur."
Avant et après ces mots, Paul dit de ne pas juger ’le serviteur d'un autre homme (le Seigneur)’ car ce que chacun fait, il le fait pour le Seigneur, qui accepte à la fois ceux qui considèrent un jour ou non, et ceux qui mangent/boivent ou non. Donc, s'il nous accepte tous, nous devons aussi le faire.
Pour en revenir à la question de la piqûre (certains préfèrent ne pas l'appeler un vaccin), grandissez, corps de Christ ! Arrêtez de vous juger les uns les autres sur ce sujet. Arrêtez de vous battre entre vous comme des enfants entassés sur le siège arrière de la voiture familiale, l'un des enfants spirituels disant : ‘il m'a touché’ et l'autre s'exclamant : ‘il m'a touché en premier’, de peur que notre ‘Parent’ ne soit obligé de vous châtier tous les deux pour votre comportement enfantin !
Paul a clairement indiqué que personne n'est censé être un évangéliste de son opinion. C'était une affaire personnelle. Il a dit de ne pas se juger les uns les autres, de régler la question dans son propre cœur devant le Seigneur, de faire preuve de tolérance envers ceux qui croient différemment que vous.
Et oh, je ne pense pas que quiconque ait été offensé par le fait qu'il ait qualifié certains de faibles dans la foi. Donc pas d'offense autorisée. Faites avec. Gérez vos émotions et ne laissez pas les esprits du monde qui cherchent l’offense vous influencer. Marchez dans l'amour, car le Seigneur accepte aussi bien ceux qui reçoivent la piqûre que ceux qui ne la reçoivent pas. Pourquoi ne pas suivre cet exemple ?
Nouveau sujet la semaine prochaine, d'ici là, bénédictions,
John Fenn
www.cwowi.org et envoyez-moi un courriel à cwowi@aol.com
Les questions que l'on me pose :
8ème partie
Vaccin Covid ; la piqûre ressentie dans le monde entier
Pensées Hebdomadaires, 10 juillet 2021
Bonjour à tous,
Ils disent que si vous le faites, c’est que vous vous êtes éloigné du Seigneur.
Ils disent que si vous le faites, vous vous ouvrez aux démons (et à leur contrôle).
Ils disent que si vous le faites, ils ne peuvent plus être en communion avec vous.
Ils disent que si vous le faites, vous êtes dans l'erreur sur le plan doctrinal.
Ils disent que si vous le faites, vous êtes insensé, irresponsable, voire dangereux.
Les personnes des deux côtés de la question sont convaincues d'avoir raison.
Beaucoup sont arrogants dans leur position, refusant d'entendre les informations de "l'autre côté".
Beaucoup pensent avoir des connaissances au-dessus de celles des autres.
Beaucoup critiquent ceux qui ne croient pas comme eux.
Et tous ces comportements se sont également passés au premier siècle.
A l'époque de Paul...
Si vous étiez Grec ou Romain et que vous veniez au Seigneur, vous aviez été un idolâtre. Votre vie avant Christ consistait à faire régulièrement des sacrifices à un dieu ou à une déesse afin d'être béni. S'il y avait une fête païenne, vous offriez un sacrifice. Si vous vouliez conclure un contrat commercial, vous offriez un sacrifice. Si on plantait une culture et qu'on la récoltait, on offrait un sacrifice. Si un bébé naissait, si quelqu'un se mariait, si quelqu'un mourait, on offrait un sacrifice pour chaque événement de la vie.
Dans les cultures grecque et romaine, les sacrifices pouvaient inclure des animaux, des céréales, des fruits ou du vin, tout comme dans le judaïsme. Mais contrairement au judaïsme, après avoir fait son offrande au dieu ou à la déesse, l'adorateur avait souvent des relations sexuelles avec une prostituée du temple (homme ou femme) - l'acte sexuel avait pour but d'inciter le dieu ou la déesse à se joindre au contrat ou à l'événement et à le bénir.
C'est hors de cette culture et de cette pratique que beaucoup sont venus au Seigneur. Il y avait une grande pression culturelle de la part du gouvernement fédéral (Romain), des gouvernements locaux (villes) et des entreprises locales, pour suivre le modèle décrit ci-dessus. Comment un Chrétien pouvait-il être un homme d'affaires intègre dans une telle culture ?
Lorsque vous deveniez chrétien à l'époque, vous sortiez de la culture locale et vous vous retrouviez à l'extérieur de la société, en marge, ce qui créait une grande confusion chez les non-croyants. Nous savons que les Romains ne comprenaient pas bien les chrétiens, car ils écrivaient que les chrétiens étaient athées parce qu'ils n'avaient pas d'idoles ou d’autels dans leurs maisons, comme le ferait un foyer romain "normal". Ils pensaient que les chrétiens étaient obsédés par le sexe car ils organisaient toujours ce qu'ils appelaient des "fêtes d'amour" (repas fraternelles). Et ils étaient cannibales parce qu'ils mangeaient et buvaient le corps et le sang de cet homme Jésus.
Pour eux, les chrétiens étaient bizarres, déloyaux envers le gouvernement parce qu'ils n'étaient pas en accord avec la culture nationale, dangereux, suspects de tout ce qui allait mal dans la société romaine.
C'est au-milieu de cette culture qu'est née la discussion sur la viande et la boisson offertes aux idoles.
Les chrétiens se trouvaient à l'extérieur de la culture païenne, alors le fait de manger de la viande ou de boire du vin qui avait été utilisé auparavant dans un temple païen n'ouvrait-il pas des souvenirs de leur passé, et peut-être des portes pour que des démons entrent dans leur vie ?
Dans le judaïsme, après qu'un animal, du grain ou du vin ait été offert au Seigneur, les prêtres ou les lévites en prenaient une partie pour leurs besoins. Et dans 4 des 6 types de dîmes, celui qui avait donné la dîme se voyait restituer le reste de la dîme afin qu'il puisse la donner aux personnes dans le besoin dont il avait connaissance.
Mais dans le monde païen, l'excédent de viande, de céréales, de vin et autres était vendu aux restaurants, aux marchés de viande et aux magasins qui entouraient le parvis du temple. Comme je l'ai mentionné il y a quelques semaines lorsque j'ai traité des chrétiens et de l'alcool, je suis allé à Corinthe et j'ai vu les ruines du temple et ces magasins. Il avait été très facile pour le personnel du temple d'amener la viande, le grain ou le vin jusqu'à la porte arrière des magasins pour qu'ils puissent les vendre.
L'économie du monde païen, basée sur le temple, était étroitement liée à tout le reste de la ville. La culture et les attentes voulaient que chaque citoyen et chaque esclave participent à ces activités. Il suffit de voir l'émeute provoquée par le fabricant d'idoles Démétrius à Éphèse en Actes 19: 24-28, lorsque les ventes d'idoles ont chuté parce que beaucoup de gens devenaient chrétiens !
Les chrétiens souffrent rarement de ‘troubles de l'opinion’.
C'est ainsi que les chrétiens de Corinthe et de Rome en particulier étaient divisés au sujet de la culture nationale et de la pression exercée sur eux pour qu'ils mangent de la viande et boivent du vin qui avaient auparavant été sacrifiés à une idole.
Aux Corinthiens, Paul a abordé la question d'abord au niveau spirituel, en disant qu'un dieu n'est rien car il n'y a qu'un seul Dieu à qui nous appartenons et que nous servons. Puis, sur le plan pratique, il leur dit, en 10: 25, de manger "tout ce qu'on vend dans les boutiques, sans demander d'où cela vient, par acquit de conscience". Et aussi que s'ils mangent seuls et veulent manger de la viande qui a été sacrifiée à une idole, et que cela ne les dérange pas, alors faites-le. Mais si un ami est avec vous et que vous savez que cela le dérange, alors ne mangez pas cette viande, mangez autre chose.
Mais dans Romains 14, il est devenu personnel, qualifiant de "faibles dans la foi" les croyants qui pensaient qu'un jour était plus saint que les autres, et ceux qui ne mangeaient pas de viande ou ne buvaient pas de vin du temple. "L'un croit pouvoir manger de tout, l'autre étant faible, ne mange que des légumes". La clé se trouve dans les versets 5 et 6 :
"Un homme considère tous les jours comme identiques, un autre considère un jour plus saint que les autres. Que chacun soit pleinement persuadé dans sa propre pensée. Celui qui considère un jour le fait pour le Seigneur. Celui qui ne considère pas un jour comme spécial le fait pour le Seigneur. Celui qui mange de tout, rend grâces au Seigneur, et celui qui ne mange pas de tout, rend grâces au Seigneur."
Avant et après ces mots, Paul dit de ne pas juger ’le serviteur d'un autre homme (le Seigneur)’ car ce que chacun fait, il le fait pour le Seigneur, qui accepte à la fois ceux qui considèrent un jour ou non, et ceux qui mangent/boivent ou non. Donc, s'il nous accepte tous, nous devons aussi le faire.
Pour en revenir à la question de la piqûre (certains préfèrent ne pas l'appeler un vaccin), grandissez, corps de Christ ! Arrêtez de vous juger les uns les autres sur ce sujet. Arrêtez de vous battre entre vous comme des enfants entassés sur le siège arrière de la voiture familiale, l'un des enfants spirituels disant : ‘il m'a touché’ et l'autre s'exclamant : ‘il m'a touché en premier’, de peur que notre ‘Parent’ ne soit obligé de vous châtier tous les deux pour votre comportement enfantin !
Paul a clairement indiqué que personne n'est censé être un évangéliste de son opinion. C'était une affaire personnelle. Il a dit de ne pas se juger les uns les autres, de régler la question dans son propre cœur devant le Seigneur, de faire preuve de tolérance envers ceux qui croient différemment que vous.
Et oh, je ne pense pas que quiconque ait été offensé par le fait qu'il ait qualifié certains de faibles dans la foi. Donc pas d'offense autorisée. Faites avec. Gérez vos émotions et ne laissez pas les esprits du monde qui cherchent l’offense vous influencer. Marchez dans l'amour, car le Seigneur accepte aussi bien ceux qui reçoivent la piqûre que ceux qui ne la reçoivent pas. Pourquoi ne pas suivre cet exemple ?
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John Fenn
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